"Here, it isn't France, Hurrah for Independence !"
Comme chacun sait, au Sud de Vannes, nous ne sommes plus en France.
Nous nous trouvons juste en face de l'endroit où attendent au garde à vous les "annexes" présentées dans le post d'hier.
Si vous trouvez un passeur, il vous conduira de l'autre côté de la frontière fictive sur un de ces petits bateaux.
Que dire d'Arradon ? la ville d'Alice d'Arradon Daily Photo et du Bleu du Ciel, plus au Sud encore !
Tant que tu écris dans la langue de Shakespeare et de Molière, rien n'est perdu.
Ne te ralie pas au mouvement, ne rédige jamais en Breton, Alice, nous perdrions toute la saveur de tes bons mots et la poésie de tes textes.
Ne te ralie pas au mouvement, ne rédige jamais en Breton, Alice, nous perdrions toute la saveur de tes bons mots et la poésie de tes textes.
Et puis, je ne parle le breton que sous la torture ou quand on me fait boire trop de cidre.
Si quelqu'un a une idée pour m'expliquer pourquoi cette inscription est rédigée avec les couleurs du Pays Basque, les commentaires sont faits pour cela....
As everybody knows, at the South of Vannes (Brittany), we're no more in France.
We're here, just at the other side of the place where are waiting in the "Attention !" position, the little boats of yesterday post.
If you find a ferryman, he will take you on the other side of the imaginary border on one of these little boats.
What to say of Arradon ? The Alice's town of Arradon Daily Photo and of Le Bleu Du Ciel, even more at the South !
As long as you write in the Molière and Shakespeare's languages, there is still hope.
Do not come round to the movement Alice, do not write in Breton, we would lose the flavour of your witty remarks and the poetry of your texts.
And I only speak Breton under torture or when one makes me drink too much cider.
Hello Catherine!
RépondreSupprimerThere is an award for you on my blog!
Ah, ah, je l'avais faite celle-là, il y a déjà un moment. Je suis d'ailleurs étonnée que l'inscription n'ait pas encore été effacée... Sais-tu que ce mur est arradonnais? Tu te rappelles peut-être certaines photos de champs de colza, ils sont juste derrière cette grande propriété.
RépondreSupprimerDésolée, aucune idée pour les couleurs basques... Et je ne parle pas du tout le breton, je connais juste quelques mots.
RépondreSupprimerGarçon, deux pichets de cidre pour Catherine, svp! Et si ce n'est pas assez, deux autres!
RépondreSupprimerOn pourrait reprendre ce slogan pour certain quartier de Banlieue "Ici c'est pas Évry, Indépendance des Pyramides"....On entend plus trop parler du mouvement d'indépendance pour la Bretagne
RépondreSupprimerBonjour oui j'ai regardé tes blogs que j'aime beaucoup
RépondreSupprimerBonne journée
Hello Catherine!
RépondreSupprimerIn fact I have no idea about that "inscription", anyway this place is very interesting and your picture is beautiful!
***Pouvez-vous m'aider avec mon français, écrit en français! Je trouve cela plus facile à comprendre quand on parle français que de parler plus facilement lors de la lecture que l'écriture!
Léia :)
ahhh As you asked...Belair is in Luxembourg!
L'auteur est peut-être un Breton d'origne Basque, ou le contraire, un Basque d'origine Bretonne qui habiterait en Bretagne.
RépondreSupprimerMoi, je suis pour la paix des peuples, La Bretagne et le Pays Basque c'est la France, et la France c'est bien aussi la Bretagne et le Pays Basque, non ???
Si un jour nous nous rencontrons j'aurais avec moi une bouteille de cidre....
RépondreSupprimerJuste pour voir!!!!
Tu avais bien ton visa en bonne et due forme, hein ?
RépondreSupprimerPietro : Merci encore Pietro. Demain, je l'affiche glorieusement sur mon blog...
RépondreSupprimerAlice : Le colza n'y était plus, il reste l'inscription qui résiste au temps, et à l'évolution des pensées. L'identité à mon avis doit persister, elle passe par la langue bretonne. Elle n'implique pas de faire sécession, à mon avis. Mais je parle de ce que je ne connais pas...je ne suis pas Bretonne.
Hpy : On partage ? Tu offres les crèpes pour éponger ?
Olivier : Les voix bretonnes ne résonnent pas jusqu'à Paris, à priori. On en entend d'autres...
France : Merci. T'as retrouvé le chapardeur ?
Cezar and Léia : I answered on your blog. It's easier for me to understand english than writing it myself. But as long as every blogger understand each other, thazt's the most important.
Claude : Oui à l'heure où on construit l'Europe...l'inscription paraît un peu dépassée. Mais, bon, chacun est libre d'afficer ses espérances.
Marie Noyale : Chiche ! Du cidre de New York ? Non ! je sais !!! je plaisante. On se retrouve avec Hpy dans une crèperie à Montparnasse ?
C'est cool aujourd'hui, y a de la tarte chez Claude et du Cidre chez toi....
RépondreSupprimerOn se retrouve chez moi, dans ma cuisine à beurrer les sandwichs ?
Bonjour alors comment vas tu ?
RépondreSupprimerLe sud de vannes oui je connais pas le sud mais Vannes oui bien entendu. Passe une bonne journée et merci pour cette superbe photo
Tu ne parles le breton que sous la torture ou si tu bois trop de cidre...! Hé bien ! Quel programme ! ! ! Et si on te fait des chatouilles sous la plante des pieds, des guilis sous le menton et des bouiz bouiz au creux des reins, tu parles aussi le breton ?...;-)
RépondreSupprimerBises Catherine...;-)
Carole : Demande à Dom de faire sauter les crèpes. On arrive....
RépondreSupprimerFrance : Le Sud de la Bretagne Sud. Toi, Tu connais le Sud tout court. Je sais je connais aussi....
Jeff : Ah ! Parler avec les mains, là ça relève de l'argumentation en italien. Je me débrouille aussi.